C'est certain qu'à force de proposer inutilement un dialogue élus-administrés fait de propositions  constructives, ce qui était "invisible" devient soudainement beaucoup plus apparent.

Ainsi ce matin, après avoir rendu visite, plus par nécessité que par politesse, à la boulangère et à la libraire où je m'approvisionne en nourriture alimentaire et intellectuelle, la clémence du temps m'a invité à une petite balade apéritive de dimanche matin.

Et c'est en voulant rejoindre la rue Jean-Sébastien Bach que je me suis aperçu que je ne pouvais traverser sereinement la rue Alfred Delecourt, car il manquait certains dispositifs conformes au Code de la route.



Par contre, pour rejoindre le square Massenet c'était moins problématique, quoique ...

 
Je reprenais donc ma route par la rue Jean-Sébastien Bach pour traverser la voie ferrée à un endroit, jadis praticable, mais toujours  emprunté par de nombreuses personnes, habitants de La Mousserie et de La Martinoire, entre autres.
 

Mesdames et Messieurs les élus, Mesdames et Messieurs les ingénieurs, Mesdames et Messieurs les "décideurs" de la Ville de Wattrelos, l"Association Citoyenne des Résidants de l'Ouest Wattrelosien" (A.C.R.O.W) vous invite à une visite guidée de l'Ouest Wattrelosien quand bon vous semblera.

Mesdames, je vous suggère d'opter plutôt pour une bonne paire de bottes, voire de godasses, afin de préserver vos chaussures à talon aiguille.

Salutations citoyennes !

A suivre : histoire de tags et de voiture

Patrick : grand consommateur de chaussures de marche

Lorsqu'on manie l'ironie, comme d'autres l'hypocrisie ou le laxisme, il faut également accepter d'en faire quelques fois les frais, et j'ose espérer que c'est bien de cela qu'use la rédaction de Nord Eclair et non d'un véritable questionnement quant à l'évènement sportif dont il s'agit.

Car, en effet, je ne vois vraiment pas en quoi l'Adjointe en charge des  "Services de proximité en matière de prévention, Sécurité, Aide, ..." serait préoccupée par les Jeux Olympiques d'hiver ou le Paris-Roubaix qui, même lorsque l'arrivée de ce dernier se faisait à deux pas du principal sponsor dans le quartier de l'Alma, n'ont jamais créer de débordements ravageurs coutumiers de la part des supporteurs des équipes en compétition, quel que soit le vainqueur ou le score final.

Ou alors, le rédacteur de l'article ci-dessous ne lit pas ceux publiés par Nord Eclair.


En effet, et bien que cela n'a rien à voir avec l'évènement sportif en question, lors de la dernière réunion du "Comité de quartier" (de l'Ouest Wattrelosien)*, l"A.C.R.O.W" demandait à ce qu'une association spécialisée dans le "travail éducatif  de rue" prenne contact avec les acteurs permanents de ce territoire de Wattrelos, puisqu'elle est censée y intervenir là où le besoin s'en fait sentir.

Et pour cela il n'y a que les résidants qui peuvent réellement le constater.

En ce début de février, la réponse de la Ville de Wattrelos était on ne peut plus évasive : "L’association X dépend du Conseil Général. Le mieux serait de contacter Monsieur F. R. afin d’obtenir les meilleures informations possibles.".

Ancien membre administrateur du bureau de cette association ayant travaillé à ses projets éducatif et associatif, j'ai déjà fait part à Monsieur F.R., ainsi qu'à la Présidente de son Conseil d'administration, de ces constations, comme de ne croiser qu'occasionnellement ces éducateurs de rue dans celles de La Mousserie, que je crois pourtant fréquenter quelque peu, à lire les publications de ce site. La dernière fois que je les ai rencontrés, c'était lors de la "Journée Internationale de Solidarité" à la salle des fêtes du centre de Wattrelos le samedi 21 novembre dernier.

Je ne dis pas pour autant que leurs missions ne sont pas remplies et porteuses de réussite, je constate simplement qu'elles ne sont pas aussi présentes là où le besoin s'en fait également sentir, non pas en prévention, mais plutôt en éducation.

Mais puisqu'il faut s'adresser au Conseil Général, il sera donc fait selon les recommandations de la Ville de Wattrelos.

* Rappel : les "Comités de quartier" de Wattrelos ne sont pas des associations comme ceux de Roubaix, mais simplement des réunions de rencontre entre élus et administrés.

Patrick : piéton observateur de l'Ouest Wattrelosien, entre autres

Si c'est simplement en passant que le dimanche 7 février vers midi je constatais que le T de cimetière de l'inscription du fronton de la maison de cet espace public communal était inversé, c'est trois jours plus tard vers 07h30, alors que je me rendais à une consultation médicale, que je pouvais voir qu'il avait retrouvé son bon sens.

Par contre, c'est parce qu'un appel téléphonique m'a quelque peu retardé que ce jeudi je partais à pied en direction de la mairie de Wattrelos où je devais déposer un dossier, alors que je pensais emprunter les transports en commun rue du Sapin-vert.

Je partais donc par le petit chemin longeant ce cimetière afin de me rendre aux arrêts de bus de la rue Voltaire à La Martinoire où je ne pouvais pas ne pas voir la nouvelle "décoration" du pignon de la maison précitée.

La photo a été floutée volontairement !

Continuant ma route, et malgré mes godasses à semelle crantée, je constatais également que le verglas persistait à cet endroit et rendait ce chemin d'autant plus dangereux que le dégel se généralisait ailleurs.

 
Après avoir saluer les personnes à l'accueil de la mairie, je me rendais, comme bien souvent, dans le "couloir des élus" où je savais certainement trouver celui concerné par ces constatations d'administré.

Il était avec un de ses collègues et je leur montrais alors les photos originales que je venais de prendre.

Pendant que je m'entrenais avec l'autre élu, celui concerné s'absentait pour revenir quelques minutes plus tard pour m'informer qu'il avait fait le nécessaire auprès du service adéquat.

Mon dossier déposé je quittais la mairie et n'irai pas voir si la Ville de Wattrelos a (mieux ?) "utilisé" ces remarques d'habitant, je le constaterai peut-être lors d'un prochain passage.

Patrick : simple administré pratiquant la marche "utilitaire"

Ce samedi matin je me rendais dans le quartier de l'Epidème pour la tenue de la troisième réunion intercommunale d'associations organisée par l"A.C.R.O.W". Après être passé solliciter le pharmacien du Tilleul pour l'affichage d'une information, c'est directement par le parc du Moulin Tonton que je m'y rendais, sans passer par celui des Villas. A l'issue de cette rencontre, je continuais néanmoins cette réunion avec l'association "Rase pas mon quartier" en accompagnant sa Présidente, mon aînée d'une quinzaine d'années, jusqu'à son siège social, qui est également son domicile : je voulais discutais un peu avec elle en apparté et voir la douzaine de garages dont elle trouve excessif le remplacement de toitures "amiantées", alors qu'elle a une proposition à faire à l'aménageur de la Zac de l'Union. C'était également l'occasion de discuter d'un quartier que j'ai longtemps traversé avant de m'y impliquer ces derniers temps.

Après avoir fait les constatations nécessaires et avoir pris congé de mon homologue associatif, c'est en me dirigeant vers la rue de l'Union que j'aperçus trois personnes semblant s'intéresser à l'ancien Peignage de La Tossée. Je leur demandais si je pouvais leur être utile puisque impliqué dans cet aménagement urbain. C'est ainsi qu'après avoir entendu leurs démarches bénévoles auprès de personnes "laissées pour compte par la Société" et répondu à leurs diverses questions sur les aménagements à venir, je leur apprenais que le bâtiment qui les abrite, boulevard des Couteaux, avait été construit pour recevoir le premier supermarché de La Mousserie devenu ernsuite un magasin d'électroménager avant d'être  leur Eglise Evangélique.

Repassant ensuite par le square Dufy pour mettre une affiche sur la porte de l'appartement où se tient la permanence d'une Chargée de mission mandatée par Vilogia, j'ai voulu voir si le tourniquet du parc des Villas était toujours bloqué par le rocher. Que nenni ! Enfin ! De loin j'ai pu apercevoir une personne qui y passait avec son chien pour des raisons évidentes de besoins de ce dernier. Mais cela est un autre débat, le principal étant que le tourniquet a pu reprendre du service après plusieurs mois de "chômage technique".

Ayant quelques courses à faire, j'allais saluer le directeur du supermarché du quartier et lui proposais de participer à un prochain évènement. Je mettais un terme à ces démarches en rentrant à mon domicile vers 13h00.  


Ce dimanche matin, même s'il était inutile que je me déplace pour acheter mon quotidien habituel pour cause d'impossibilité d'impression, j'avais néanmoins besoin de pain, la boulangerie étant fermée la semaine prochaine.

J'en profitais pour aller au siège social d'une association sise dans une habitation personnelle et j'empruntais donc un autre chemin sur lequel je croisais Pascal, rencontré en 2001 à Beaulieu alors qu'il habite La Mousserie depuis environ un quart de siècle. En discutant de choses et d'autres avec luiavec lui, je lui demandais s'il connaissait une personne "Mémoire vivante" de La Mousserie, par ailleurs mère d'un de mes amis de collège décédé il y a déjà quelques années, qui habite près de chez lui et que je me suis promis de contacter.

Après avoir quitté Pascal, je me rendais donc au siège social cité précédemment mais je n'ai pu y laisser qu'un message à l'épouse de la personne que je désirais rencontrer, un membre d'association, outre les obligations qu'il y assume, a également une vie familiale.

C'est aux abords d'une autre association que j'allais solliciter pour afficher la tenue d'une prochaine réunion de l'atelier "Vivre Hier et Aujourd'hui à La Mousserie", qu'une personne travaillant dans l'Ouest Wattrelosien a arrêté son véhicule à ma hauteur pour m'interpeller. Cette même personne m'a égaleemnt interpellé vendredi soir alors que je venais de rencontrer les responsables de deux associations pour leur proposer de participer à une prochaine manifestation. Il n' aurait rien que de plus normal pour deux habitants d'un même territoire, où elles y interviennent également, si cette personne ne m'avait dit mardi que, dorénavant, elle ne me gratifierait plus que d'un "simple bonjour de politesse" lorsqu'elle me croiserait. Je ne lui ai rien demandé, que je sache ! Bref !

Avant d'aller chercher les pains commandés, je passais quand même saluer la libraire qui n'a pu que constater ce matin qu'il n'avait pas de quotidiens et que sa caisse serait vite faite. Nous avons également parlé du quartier "commerçant" du sapin-vert et de divers aménagements à venir et à solliciter.

Voulant quand même rendre visite avant midi à la "Mémoire vivante" de La Mousserie précitée, passant près de l'église du Christ Roi j'ai pu interpellé son curé qui s'apprêtait à quitter le quartier, l'office dominical étant terminé. Il me dit regretter de n'avoir été informé de la réunion organisée par l"A.C.R.O.W." concernant la ZAC de l'Union que par l'article paru pa la suite, il aurait aimé y participé. C'est vrai que si l'affichage a été fait dans le quartier, de nos jours les curés n'y habitent que très rarement et n'ont de rapports qu'avec leurs ouailles fréquentant leur paroisse. Je l'informais toutefois qu'une prochaine réunion de ce genre n'était pas exclue et qu'une affiche parviendrait à l'église. Je lui proposais également de participer à la manifestation citée précédemment, puisque la première visite guidée de l'église du quartier, en octobre dernier, a été inspirée par les travaux de l'atelier "Vivre Hier et Aujourd'hui à La Mousserie".

Certainement absente de chez elle, je laissais une invitation dans la boîte à lettres de la mère de mon ami de collège et traversais la voie ferrée pour aller saluer un couple d'amis avant d'aller déposer une invitation dans la boîte aux lettres d'un autre. 

Ce deux démarches effectuées, je rentrais à mon domicile par le seul itinéraire possible, la rue des Patriotes où est situé le cimetière du Crétinier.

A la remarque émise par l"A.C.R.O.W." lors de la réunion du Comité de quartier du 24 novembre 2009 "Il manque deux lettres sur le lettrage du cimetière du Crétinier." il était répondu par envoi du compte-rendu ce mercredi 03 février "Ce lettrage sera remplacé par des lettres peintes."

Moi je veux bien, mais ne me dîtes pas que le "T" de Crétinier a été peint à l'envers, il est tout simplement (déjà ?) détaché !


Le lettrage du "Club Lyauté" et du "Club de Javelot de Wattrelos" situés à côté de ce cimetière a également déjà fait l'objet de remarques de l"A.C.R.O.W." restées sans réponse à ce jour.

Ce vendredi j'y allais voir le Président du "Club de Javelot de Wattrelos" pour lui proposer sa participation à une manifestation genre "Portes ouvertes". Faudra t'il prévoir une signalisation spécifique pour indiquer cette association wattrelosienne très active sur le territoire de la commune mais également à l'étranger ?

Comme je le dis souvent, je ne vais pas voir ce qui "cloche "dans l'Ouest Wattrelosien, je le constate lors de déplacements normaux, mais effectués à pied.

Comme je constate également  que pour un service de la Ville de Wattrelos les lettres seront peintes, alors que pour un autre elles seront fixées "cahin-caha" sur le mur.

Est-ce cela "être crédible" ?

Patrick : Président de l"A.C.R.O.W.", résidant de l'Ouest Wattrelosien

 Ce lundi 1er février je me rendais à une réunion au Centre Social Boilly rue de l'Epîdème à Tourcoing. Mon itinéraire passe près de l'église du Christ Roi où je ne pouvais manquer les habituels "sacs noirs" en bord de route.

Ils doivent être "fâchés", je ne me souviens pas les avoir vus déposés, ensemble, au même endroit.

 
Je continuais mon chemin qui passe par le supermarché Match et le quartier des Villas avant de rejoindre celui de l'Epidème à Tourcoing, comme indiqué ci-dessous.


Les photos ci-dessous ont été prises à l'emplacement de la croix situé à la limite des deux communes. Elles montrent combien il y a Du changement dans la continuation  !

Et c'est après avoir sali mes chaussures sur le territoire de Wattrelos que je me retrouvais dans la commune voisine, sur un revêtement piéton "normal".

Il ne me restait plus qu'à rejoindre le Centre Social en traversant le parc du Moulin Tonton aménagé en parc urbain alors que celui des Villas ressemble plus à un enclos de zoo.

Même s'il n'y a pas photo entre les deux aménagements, j'ai "résumé" ci-dessous l'aspect de part et d'autre de la rue des Villas à son embranchement avec la rue du Moulin Tonton.

                                                                          Patrick : piéton intercommunal