Dernièrement, une mouvalloise,  ancienne commerçante résidante du Cul de four quartier roubaisien voisin de l'Ouest Wattrelosien "de l'autre côté du canal", qui fut également élue municipale de Roubaix, a été "interpellée" par l'état du cadre de vie de ces voisins d'antan avec qui elle a gardé contact, en constatant ce qu'était devenu ce quartier où elle a résidé et exercé de nombreuses années.

L'article d'un quoditien de la presse locale  où elle fait part de son exaspération a retenu l'attention de l"A.C.R.O.W.", puisqu'il y est question du futur écoquatier de l'Union, objet de ses objectifs et orientations,  mais égalemnt de ses "habitants" actuels qui n'y ont cependant pas leur résidence : les Roms et les nuisances environnementales que génère leur campement sauvage dans ce quartier en cours de réaménagement urbain.

La messagerie électronique de l"A.C.R.O.W." ainsi que celle de deux Vice-présidents de la Communauté Urbaine De Lille (C.U.D.L.), l'un étant Adjoint du Maire de Wattrelos, l'autre Conseiller municipal de l'Opposition à Roubaix, a permis un échange de messages définissant, plus ou moins clairement le rôle de chacun de ces élus dans l'intervention des services de propreté.  

Il est cependant regrettable que l'article de cette même presse locale (Après-midi citoyen III ! ) et même du Journal de Wattrelos (Après-midi citoyen II ! )  concernant la propreté de l'Ouest Wattrelosien, n'aient pas suscité le même intérêt de ces deux Vices-présidents, surtout celui de l'Adjoint au maire de Wattrelos : énième explication en images ci-après.

Ce samedi 12 novembre 2011 au matin, je quittais mon domicile de la rue Charles Gounod en me dirigeant vers le bout de cette voie en impasse adossée à la voie ferrée désaffectée "Halluin-Somain". N'ayant plus emprunté cette itinéraire depuis plusieurs semaines, je crus tomber sur l'installation d'un campement sauvage. 

 Toutefois, ce coin de Wattrelos est surtout connu que des riverains ET des pollueurs en tout genre. Voir ci-dessous le plan de situation des lieux indiqués sur les photos.

Je ne crois utile de commenter les photos ci-dessous pour constater la dégradation des lieux depuis l'opération " Apres-midi-citoyen " du 27 octobre 2010.

 Combien de décennies seront nécessaires pour que le matelas ci-dessus se décompose naturellement ?

Les photos de la voie ferrée ne concernent que le tronçon indiqué par la flèche rouge à double sens sur la vue satellite qui doit datée de quelques années.

Arrivée au bout de mon court trajet par voie ferée, je ne pus m'empêcher de penser en prenant la photo ci-dessous :

"Et pourtant, même si ce ne doit être que de transition, avec un peu de bonne volonté des uns et des autres, il y aurait moyen de faire de cette "décharge" un cheminment piétonnier très agréable et même utile, ne serait-ce que pour la biodiversité !"

 Rêveur (utopiste ?) je reprenais mon cheminement non sans prendre deux dernières photos de ce no man's land wattrelosien. 

Ci-dessus, ce n'est certainement pas à dos d'âne, ni même d'homme, que cet avant de véhicule automobile est arrivé là. Ci-dessous, l'identité de la personne concernée par ce dossier d'écographie n'a pas été floutée par respect du secret médical, mais simplement parce que l"A.C.R.O.W." n'a pas à se subsistuer aux autorités compétentes, surtout laxistes, et autres propriétaires des lieux non moins désinvoltes. 

 Toutefois, mon périple de cette matinée dans l'Ouest Wattrelosien ne faisait que débuter, d'autres constats photographiques feront l'objet d'un prochain article.

Patrick : Président résidant de l'"A.C.R.O.W." 

Lorsqu'on est piéton, notre territoire de découvertes est limité à un périmètre beaucoup plus restreint que celui des personnes utilisant des modes de transport polluants et onéreux pour leurs déplacements ordinaires, qui ne les mènent parfois pas plus loin.

Ainsi, ce lundi après-midi, je discutais avec la libraire du Sapin-vert, qui venait de me céder contre un euro l'édition du jour d'un quotidien local, lorsqu'une dame est entrée en tenant la porte du magasin ouverte afin de ne pas perdre de vue la voiture d'enfant qu'elle avait laissée sur le trottoir : je me suis donc proposé pour garder un oeil sur l'enfant en bas âge qui l'accompagnait pendant qu'elle faisait tranquillement ses achats.

Peu de temps après nous entamions une conversation qui nous apprit que nous habitons le même quartier, que nous sommes chacun parent d'une fille du même âge, également grand-parent avec un parcours de vie assez semblable et, puisque nous retournions par le même trajet, nous décidons de le faire ensemble après que je sois quand même allé prendre congé de mon interlocutrice précédente.

C'est ainsi, qu'arrivés face aux semis collectifs de Vilogia à l'angle des rues du Sapin-vert et Richard Wagner, je lui proposais de la prendre en photo, ce qu'elle accepte bien volontiers lorsqu'elle fut informée de l'objet de son utilisation.

J'ose espérer que certains destinataires à qui aura été envoyé le lien électronique renvoyant à cet article en comprendront la signification.

C'est un peu plus loin, à hauteur du passage à niveau, que nous nous séparons non sans que je lui donne bien sûr la carte de visite de l"A.C.R.O.W.". Hier, K. (initiale de son prénom) m'a envoyé les siennes afin de garder un contact, je compte bien aller lui rendre visite pour qu'elle me présente les rats de son voisinnage dont elle m'a entetenu, cela a un rapport avec une certaine voie ferrée désaffectée à "désinfecter."

Comme chaque année à la même date, c'est très tôt le lendemain, mardi 1er novembre, que la balayeuse municipale  arpentait dans un va-et-vient la rue des Patriotes à proximité de mon domicile qui a vue sur le Cimetière du Crétinier. Un peu plus tard je retournais échanger un euro contre le quotidien local habituel et je n'ai donc pris la photo ci-dessous qu'en revenant du Sapin-vert après avoir constaté que les containeurs de la Cuisine centrale étaient bien rangés sur le trottoir, ce qui peut être compréhensible en ce jour férié, le ramassage devant se faire ce mercredi. Mais l'exception ne doit pas faire la règle.

Je doute fort que les panneaux et autres pancartes et affiches de la Salle Salengro ayant servi au Salon Commercial aient été amoncelés sur une pelouse du Centre-ville de Wattrelos, quoique plus grand-chose ne peut plus m'étonner dans ma commune de résidence, car, qui a "déposé" les panneaux publicitaires sur le tas d'ordures existant ? D'aucuns oisifs qui passaient par là ? Ou des personnes du service commercial de la Ville qui auraient été chargé de les enlever une fois cette manifestation terminée ?

La photo ci-dessus prise, je hâtais le pas et gardais mon appareil en main, car une personne avec une voiture d'enfant était passée derrière moi au moment où j'opérais. Explications ci-après.

La photo ci-dessus prise, j'accélérais encore un peu le pas, restant toutefois nettement sous la barre des 30km/h des zones piétonnes (c'est de l'humour), pour prendre la photo ci-dessous.

Ce n'est que chose faite que j'interpellais cette personne pour lui montrer la photo et demander sa permission de l'utiliser. Elle asquièce d'autant plus volontiers qu'elle habite pas très loin de là et qu'elle m'a vu prendre une photo de l'état dans lequel certains wattrelosiens mettent et laissent son cadre de vie et son environnement. Elle aussi est repartie avec la carte de visite de l"A.C.R.O.W."

Plus loin, le fait constaté ci-dessous n'est pas nouveau mais beaucoup plus fréquent depuis quelque temps pour être signalé.

Cette photo à peine prise, trois personnes sortaient de l'immeuble voisin ert se dirigeais vers la voiture.

Je serrais la main tendue par l'une et interpellais une autre, que je déduisais être le conducteur de ce véhicule, pour lui demander qu'une prochaine fois il laisse un peu plus de place entre la bordure et son véhicule, afin de permettre un passage sur le trottoir. Il prétexte alors venir chercher son beau-père handicapé, ce que me confirme celui-ci, mais je réitère plusieurs fois ma demande car il y a moyen de faire autrement que de rendre service à une personne au détriment des piétons, dont certains peuvent également être à mobilité réduite comme cette personne, voire même en fauteuil roulant ou non voyantes, ou plus simplement âgées, car cette voiture était déjà là  alors que je faisais mes courses dans le magasin proche.

A noter à l'arrière plan la voiture sur le trottoir dont son conducteur pourrait laisser un peu plus de place entre elle et la haie de son domicile, ainsi que la voiture au milieu de la chaussée malgré l'ilot central matérialisé à la peinture.

Toutefois, et malgré souvent un manque de retour des interventions sollicitées par les habitants et/ou l'A.C.R.O.W.", et pour ne citer que celles-là, suite à une interpellation de la Commission "Vis ton quartier", le parking privé du bureau de La Poste au Sapin-vert a été débarrassé de ses mauvaises herbes et de ses détritus, sachant qu'après ceux de celui du Centre-ville ses locaux devraient également être rénovés.

Et puis, c'est début septembre que, sollicitée par des riverains locataires de semi-collectifs de la rue Paul Gauguin, l"A.C.R.O.W." interpellait la Ville de Wattrelos et Vilogia, photos à l'appui, pour signaler la présence de galeries de rats dont certaines assez importantes (voir ci-dessous).

Un mois plus tard le service concerné de la Ville était intervenu plusieurs fois pour opérer, comme le préconise le processus de dératisation, et l'agence locale de Vilogia se serait chargée du rebouchage des trous (voir ci-dessous).

Si je peux qualifier d'extraordinaire ma rencontre avec la première personne citée dans cet article, puisqu'elle avait laissé sa voiture automobile utilisée d'habitude pour prendre celle d'enfant afin de promener sa petite-fille, celle d'une voiture sur le trottoir est cependant tout à fait ordinaire dans l'Ouest Wattrelosien, d'où la prolifération de potelets le long des bordures de chaussée.

Patrick : Président résidant de l"A.C.R.O.W."

C'est lors de la deuxième journée des "Itinéraires du Développement Durable" (I.D.D.), ce début octobre,  que nous était présenté, sur place à Lens, le Plan de Rénovation Urbaine (P.R.U.) Haute Qualité Environnementale (H.Q.E.) du quartier de la Grande Résidence.

A l'issue de cette présentation  par des élus locaux et des techniciens de la Ville de Lens à l'aide de deux maquettes, dont l'une évolutive,  je posais la question qui, pafois, dérange : "Depuis le début vous parlez de la participation et la concertation des habitants, mais où sont-ils ?". Car aucun résidant du quartier n'était présent dans la salle. Je passe la réponse évasive, puisque nous devrions en voir lors de la visite prévue de ces travaux. Nous en avons effectivement vu, à travers lers vitres de l'autocar.

Dès l'idée de projet "D'un quartier à l'autre " amorcée, je savais que le témoignage d'habitants impliqués dans le P.R.U. de Beaulieu devait y avoir sa place.

Aussi, si cette visite n'a intéressé qu'une seule résidante de l'Ouest Wattrelosien, Jocelyne et Georges, sollicités lors de rencontres préalables, étaient accompagnés de quatre autres personnes impliquées dans le P.R.U. de Beaulieu. D'autre part, Anaîs, étudiante en urbanisme à Lille 1 rencontrée lors des "I.D.D.", ainsi qu'Aurélien, l'un de ses codisciples, étaient également présents à l'heure dite au lieu de rendez-vous : l'Espace projet.

Après une évocation de l'Histoire de Beaulieu et de eds personnages marquants par Rita, la Directrice de l'Office du Tourisme, la présentation du "P.R.U." par Didier, le Directeur général technique de la mairie, les témoignages de Jocelyne et de ses amis sur leur participation avec des voyages d'études d'autres chantiers de rénovation urbaine, la consultation des documents et photos relatifs à ce projet, ...

... nous entamons la visite avec, face à l'Espace projet, la réalisation de l'esplanade après la démolition de la barre jumelle de celle qui abrite maintenant au rez-de-chaussée, la majorité des services et commerces du quartier.

Nous nous dirigeons ensuite vers le belvédère en construction dans le prolongement de l'esplanade, ...

... qui permet désormais de surplomber le stade juqu'alors caché par une haute haie périphérique toujours existante.

Un peu plus loin, le Directeur technique et les habitants nous expliquent que les architectes urbanismes avaient privilégié les espaces verts au détriment des places de stationnement à proximité des habitations au grand dam des résidants, et qu'un compromis avait été trouvé avec la création de parkings végétaux ... 

... qui posent quelques problèmes aux chaussues à talon des dames, ainsi que pour le déchargement des caddies de provisions dans le coffre des voitures : la réalisation d'une bande de matériaux enrobés le long de la bordure de chaussée aurait été demandée. Nous continuons notre visite, non sans remarquer que la démolition de certains immeubles permet d'apercevoir au loin le clocher de l'église Saint Maclou, au centre ville, ...

... des espaces piétonniers  créés ou remodelés avec, à l'arrière plan ci-dessous, l'église Notre-Dame du Bon Conseil qui n'aura pas la chance d'être sauvée de la démolition par un Compagnon du Devoir comme celle de Saint Louis dans le quartier de l'Epidème à Tourcoing qui accueillera une entreprise de menuiserie.   

Le portail et des vitraux de l'église de Beaulieu auraient cependant été récupérés par les Compagnons du Devoir de Villeneuve d'Ascq pour une réutilisation.

Après un trop rapide passage au nouveau foyer d'hébergements des personnes âgées, le Domaine de la Roselière où nous avons été accueillis par Nancy, la responsable des lieux, arrivée récemment de Lille, nous nous dirigeons vers l'Espace Maurice Titran ...

... où Elisabeth était venue nous attendre à l'Espace lecture Léon Blum, d'ordinaire fermé le jeudi matin, offrant au public, surtout jeune, un accès Internet.

Au Centre Social nous sommes sommes attendus par son Directeur Thierry, qui s'était proposé de nous faire visiter les lieux. Sur le départ de midi, les deux personnes du Conseil Général nous présentent les locaux qu'elles y occupent pour assurer divers services.

Décrire tous les services et accueils qu'assure le Centre Social (C.S.) demanderait un article spécial tellement ils sont nombreux, ...

... toutefois, si la concertation des habitants a été constante, quelques "erreurs" de réalisation n'ont pu être évitées, telle l'absence de portillon dans le parapet de la terrasse ...

... ne permettant un accès que par l'extérieur au jardin attenant aménagé pour recevoir un jeune public. Thierry nous a présenté la Crêche municipal ainsi que la Halte-garderie du C.S. dont un poteau technique carré est habillé d'une protection de but de rugby afin de protéger les enfants de ses arêtes (à gauche sur la photo de droite ci-dessous).   

Si, au début de cette visite, un rapide hommage a été fait à l'Adjoint au maire, Bernard Vanmarcke, et au militant associatif de Beaulieu, Claude Dardenne, décédés récemment après une longue maladie, les bénévoles, usagers et salariés, du C.S. ne les ont pas oubliés non plus.

A l'étage, les garde-fous de la passerelle intérieure, cependant conforme aux normes de sécurité, seront rehaussés pour celle du jeune public fréquentant cette structure. La visite s'est terminée par la cuisine, dont les équipements devraient être reconfigurés en ilôt centreal pour une utilisation plus pratique.

Après le pot de l'Amitié offert par Thierry, chacun et chacune est repartie, je crois, ravi(e) de cette visite commentée.

Citer nominativement chaque personne ayant collaborer à la préparation et l'organisation de ce projet serait risquer d'en omettre, aussi je tiens en tant que Président de l'Association Citoyenne des Résidants de l'Ouest Watrelosien (A.C.R.O.W.), mais surtout comme habitant impliqué dans le cadre de vie et l'environnement de la commune de Wattrelos et larges alentours, à remercier les intervenants des divers services de la Ville, de l'Office du tourisme, de l'association Acti'Jeunes, de l'Association des Centres Sociaux (A.C.S.W.) de Wattrelos et, bien sûr, les habitants du quartier de leur disponibilité et participation à ce projet citoyen qui ne peut bénéficier du Fonds de Particpation des Habitants (F.P.H.) pour une interprétation "obtue", par l'association de gestion, de la Charte éditée par le Conseil Régional du Nord Pas de calais.

Cependant, dès dimanche, Aurélien, venu par les transports en commun  comme Anaîs, m'a envoyé un message de remerciement me demandant s'il était possible d'organiser une même visite sur le site de l'écoquartier de l'Union, à laquelle il inviterait certains de ses camarades d'études.

Avec ou sans financement, jamais je ne me déroberai devant ce genre de demande.

Patrick : Président résidant de l"A.C.R.O.W."

Patrick : Président A.C.R.O.W. 

Ce mercredi 21 septembre après-midi j'étais en entretien avec Sauria, la Directrice de la Maison des Associations (M.D.A.) de Roubaix, lorsqu'elle a reçu un appel téléphonique dont j'ai pu saisir l'objet. Malheureusement, j'ai fait l'impasse sur le projet de réflexion "active" dont il était question et dans lequel les jeunes gens en recherche d'emploi seront les principaux protagonistes, j'espère pouvoir en discuter très bientôt avec elle.

Ce projet, que j'ose espérer voir mener à terme, devrait "casser" une certaine image que beaucoup ont de la jeunesse actuelle qui, bien souvent, ne demande qu'un petit "coup de pouce" pour construire leur avenir en prenant un bon départ dans la vie comme celui dont a pu bénéficier Aziz (voir ci-dessous).

Source article : Roubaix Magazine page 37 (dernière)

Patrick : Président de l"A.C.R.O.W."