C'est par messagerie électronique que j'apprends ce samedi midi le décès d'un habitant de La Mousserie, connu et estimé de beaucoup de Wattrelosiens. 

Cela fait à peu près un an que la maladie avait éloigné Bernard de la vie politique et sociale de Wattrelos. C'était surtout un bon "pote" car, malgré les sujets qui fâchent parfois, nos visites de quartiers se faisaient toujours dans la bonne humeur, même par grand froid, comme c'était le cas lors de celle du vendredi 08 janvier 2010  en compagnie de son collègue élu, Daniel Lefevre, et Patrice, le coordinateur des Comités de quartiers, un ancien voisin .

Je présente mes sincères condoléances à son épouse Arlette et son fils Nicolas que je connais plus personnellement, ainsi qu'à sa famille et proches, et compatis à leur douleur.

Patrick : Président de l"A.C.R.O.W." voisin de quartier

Ce mardi matin, après avoir acheter mon journal au Sapin-vert, c'est en me dirigeant vers le Tabac-presse du Tilleul que je remarquais ces arbres morts sécurisés par des barrières et du rubalise.

Par contre, si je l'ai aperçu au loin sur ma gauche, le sac plastique au fond de l'impasse ne peut pas ne pas être vu par d'autres, dont c'est le travail de veiller à ce qu'il ne reste pas là où il est. ... 

... Mais comme il n'y avait toujours pas de changement pour les branches de l'arbre "pleureur" et les conteneurs toujours sur le trottoir, il risque d'y rester quelque temps.

J'attendais le bus à l'arrêt du Tilleul lorsqu'une cliente-locataire de Vilogia m'interpellait concernant des dégradations signalés maintes fois sur l'immeuble qu'elle habite mais sans suivi du "propriétaire". Je lui ai promis de passer voir tantôt, cela fera certainement l'objet d'un prochain constat des lieux en allant. Une autre cliente-locataire de Vilogia prenant le bus s'est jointe à la discussion, puis encore une autre, habitant ce même parc immobilier, mais à Tourcoing. L'arrivée du bus a mis fin aux recriminations de ces personnes qui estiment payer des charges non assurées.

Ce même mardi matin, c'est en attendant à la caisse d'un magasin tourquennois que je remarquais que même une personne svelte doit se tortiller pour sortir de sa voiture en stationnement ou y rentrer.

Si le Code de la route définit une largeur minimum pour les places de stationnement, le législateur tient-il compte de l'évolution de la taille des automobiles, surtout en largeur ?

Ce jeudi matin, en voyant les ouvriers ci-dessous je pensais bien qu'ils étaient en train de déplacer l'arrêt de bus comme cela avait été annoncé lors de la dernière réunion du Comité de quartier, le mercredi 18 mai. C'est ce qu'ils me confirmaient lorsque je leur demandais. 

Une personne me dit en passant : "Ces cons ont enlevé le panneau à l'arrêt du bus !". Après lui en avoir donné la raison, il s'exclama : "Ce n'est pas con !".

Avec un riverain du Sapin-vert qui était venu faire une course au magasin "ED", nous avons évalué à quatre le nombre de places de stationnement qui pourraient être ainsi créées.

En tout cas, elles seront utilisées, c'est certain, alors que des riverains préfèrent garer leur voiture sur le trottoir. Et ce sont oujours les mêmes.

Ayant terminer ce que j'étais aller faire dans les communes voisines, en attendant une correspondance de bus à l'arrêt de la gare de Tourcoing je n'ai pu m'empêcher de photographier le rond-point toujours bien fleuri.

A l'arrêt Wagner le poteau des horaires du bus était remis à son nouvel emplacement. Cependant, en voyant les bidons de peinture ce matin sur le camion des ouvriers, je pensais que le marquage aurait également été effectué.

Bon ! Maintenant, si ce n'est pas prévu, les usagers de transports en commun vont demander l'installation d'un abribus, car ce nouvel emplacement est exposé "aux quatre vents" et la Ville de Wattrelos est propriétaire du terrain attenant.

Patrick : riverain usager des transports en commun

Ce mardi 02 août, c'est en fin de matinée que je quittais mon domicile avec l'intention d'aller jusqu'au centre-ville de Tourcoing. A hauteur du passage à niveau de la rue des Patriotes, je croisais le cinquième Adjoint au maire de Wattrelos, mais comme lui était en voiture, nous n'avons échangé qu'un sympathique salut de la main. Par contre, le prochain bus ne passant pas avant un quart d'heure, je continuaixs ma route vers le Sapin-vert.

Je n'ai pas sorti mon appareil photo pour immortaliser la voiture de ce professionnel de la santé qui s'obstine à garer son véhicule en travers du trottoir empêchant ainsi la progression normale des personnes, alors que la place ne manque pas sur cet espace "réservé" aux piétons. Encore une preuve que si l'intelligent peut faire le diplômé, aucun diplôme n'a jamais fait d'intelligent. Il faut toutefois remarquer que j'ai déjà fait part à ce "monsieur" de son comportement tout aussi incivique, qu'hors la Loi faisant preuve d'égoïsme à l'égard de ses concitoyens. Bref ! Brassens le disait très bien en  chanson

Je n'ai pas plus sorti mon appareil pour le tas d'emconbrants au coin de la placette et de la rue Victor Hugo : il fait partie intégrante du cadre de vie des riverains de ces lieux qui le reconstituent au fur et à mesure que les services de la Ville de Wattrelos interviennent pour l'enlever.

Puisque le bureau de tabac au Sapin-vert était fermé, après avoir acheter le quotidien local à la librairie-papeterie, c'est donc vers celui du Tilleul que je me dirigeais pour faire valider mon bulletin de loto et c'est un arbre "pleureur" qui m'a finalemnt décidé à jouer au photographe.

Si je suis un ardent défenseur de la nature et de sa préservation en milieu urbain, ce n'est quand même pas au péril de ma vie. Car, avec ces conteneurs qui ne pouvaient, de toute évidence, être mis ailleurs, mais je ne vois pas pourquoi, je n'ai pas eu d'autre choix que de passer sur la chaussée et, à moins d'être un enfant ou une personne de très petite taille, je ne crois être le seul à avoir fait de la sorte.

Il est inutile de demander au bailleur social Vilogia ou à la Ville d'intervenir, "on" nous répondra certainement que ce n'est pas la bonne saison pour élaguer les arbres.

Par contre, il serait plus judicieux de remplacer les convois de tracteurs qui traversent solidairement la France pour apporter du fourrage aux éleveurs dont les pâturages ne suffsent plus à nourrir leurs bêtes après la période de sécheresse qu'a connu leur région, par des bétaillères qui pourraient amener les bovins paître dans certains espaces verts de l'Ouest Wattrelosien où l'herbe semble bien grasse.

Toutefois, il serait encore plus judicieux de rafraîchir et d'actualiser le panneau ci-dessous. A condition, toutefois, que la Société immobilière Vilogia ne change encore de nom sous peu.

Après avoir fait l'appoint de l'euro de gain du loto aux tirages précédents  afin de payer le bulletin suivant, il me fallait attendre plus de vingt minutes à l'arrêt du Tilleul pour emprunter le bus en direction de Tourcoing. Aussi, je me dirigeais vers le supemarché Match du "Centre commercial des Couteaux."

C'est un panneau de permis de construire qui a suscité ma curiosité, puisque le précedent responsable local de ce parc immobilier de logement social m'avait affirmé, il y a ........... quelque temps déjà, que les abords de la Tour du Tilleul allaient être refaits.

Que nenni ! S'il y a bien intention de travaux, ceux-ci se feront quatre vingt quatre (84) mètres plus haut.

Deuxième arrêt pour me questionner sur le type de véhicule qui a pu abîmer ainsi cette bordure de l'ilot central du boulevard Léon Jouhaux.

A noter également, au premier plan, l'environnement verdoyant de la plaque de l'avaloir. C'est vrai que juste à côté il y a un mini espace vert au milieu du trottoir.

Un petit éclaircissement au sécateur, simultané à une coupe de la pelouse à la tondeuse, serait le bienvenu pour le pied de l'arbre ci-dessous.

C'est sous les regards intrigués des clients de la station de lavage du "Centre commercial" que je prenais les photos ci-dessous.

Après avoir effectué quelques achats au magasin Match, je reprenais le chemin de mon domicile. Rien de bien nouveau concernant le bâtiment voisin, si ce n'est une voiture dans l"enceinte fermée de ce futur (?) magasin et, certainement, un peu plus d'ordures sur le parking.

Le manque évident d'entretien des abords de ce bâtiment ....

... ne semble pas entamer la volonté des autres commerces à maintenir leur environnement propre en mettant des poubelles à la disposition de leurs clients et autres passants.

Plus loin, à hauteur de l"église du Christ roi, je ne saurais dire quand j'ai vu pour la dernière fois ce potelet disparu, car j'ai déjà remarqué que l'absence de certaine chose, ou personne, est plus souvent ......................... visible que sa présence.

Bien que, dans l'ombre de l'autre côté de la rue, les trois sacs noirs sans inscription sont assez visibles pour être ........................ vus, eux.

En remontant la rue des écoles, comme il y a  plus de cinquante ans alors que je n'étais qu'un écolier, je n'ai pu m'empêcher de penser, qu'en ces temps là, les riverains étaient plus soucieux de l'aspect de "leur" trottoir et de la façade de leur habitation.

Toutefois, arrivé au coin de la rue, j'ai pu constater que le bon sens l'avait emporté sur toutes les raisons évoquées ces dernières années pour ne pas sécurisrer la façade de cet ancien commerce.

Comme dit la formule : "Il n'y a pas photo !". Mais je ne peux m'empêcher .

Cependant, je ne sais pas (encore) qui a mis ces caches de protection.

La Ville de Wattrelos ? Ou le propriétaire ? de gré ou obligé.

Un peu plus loin, rue du Sapin-vert, le tag "oublié" n'y était plus non plus.

Rue Richard Wagner, à en juger par le stationnement, peu de riverains semblent partis en vacances. Là aussi, beaucoup attendent avec impatience les travaux de voirie promis depuis plusieurs années et dont le date de réalisation ne cesse d'être reportée.

Rue des Patriotes il semblerait que des nouveaux locataires sont arrivés. La semaine dernière deux personnes examinaient le mur extérieur des semi-collectifs recouvert d'une peinture étanche qui rend les logements humides. Par contre, le sac de papier peint enlevé risquent de rester encore là quelques semaines.

Piéton, je sais bien que les places de stationnement autorisées ne sont plus suffisantes pour le nombre d'automobiles et que les trottoirs y suppléent. Toutefois, certains automobilistes ne savent pas "cohabiter" avec les piétons ...

... d'où la néccessité pour ces derniers de demander l'installation de potelets, supprimant de ce fait ces places de stationnement qui auraient pu être mieux utilisées.

Derrière mon domicile l'accès est toujours ausi inaccessible, mais qui s'en plaindrait, ...

.... mais il est beaucoup plus propre !

Par contre, les agents territoriaux de la Ville de Wattrelos qui passent plusieurs fois par semaine à pied avec leur matériel de nettoyage, dont une pelle carrée qui ne s'use que si l'on s'en sert, pourraient nettoyer les abords des jardinières, cela ne demande que très peu de temps.

J'espère que ce long article démentira les incrédules qui, sans cesse, disent "Ca sert à rien, ils ne font rien !"

Patrick : Président résidant de l"A.C.R.O.W."

Ce samedi matin, je passais d'abord déposer une ordonnance à la pharmacie de La Mousserie avant de remonter la rue Alfred Delecourt en bus, puisque son horaire correspondait au mien, pour aller chercher le journal à la Librairie-papeterie du Sapin-vert et commander du pain à l'unique boulangerie du quartier, avant d'aller emprunter quelques livres à la bibliothèque annexe, "Biba" pour les habitués.

Afin de récupérer les médicaments à la pharmacie, j'empruntais l'ancien tracé de la rue Léo Lagrange qui longe l'arrière du Complexe Jean Zay, et c'est à hauteur de la rue des écoles que je sortais mon appareilphoto car, si déposer de gros sacs d'ordures est, certes une incivilité, mais une incivilté .............. "pensée", puisqu'il faut généralement un véhicule pour le transporter, le petit sac ci-dessous semble être, de toute évidence, le fait d'un geste spontané de piéton.

Continuant par la rue Paul Gauguin, que j'emprunte rarement, je ressortais mon appareil photo car je n'ai pas de réponse quant au pourquoi du dépôt ci-dessous.

De toute évidence, ces ordures ont été déposées par un locataire partant ou arrivant dans l'un des appartements des semi-collectifs de cette rue, je ne vois pas d'autres explications. Mais comme le lien de cet article sera envoyé à des "responsables" de Vilogia, une réponse nous sera peut-être apportée.

Il faut cependant noter, mais cela n'a vraiment rien d'exceptionnel, le peu de cas que fait l'agence immobilière Vilogia quant au cadre de vie et l'environnement dans lesquels vivent ses clients-locataires parce qu'une minorité d'entre eux sont des gens sales.

U peu plus loin, les trottoirs ne semblent plus asez grands pour déposer les ordures.

Mais qui donc ira les chercher sur le toit de ces garages de l'Allée Rossini ?

Par contre, qui doit enlever les mauvaises herbes aux portes de ces garages ?

Le locataire qui paie des charges pour ce faire ?

Le bailleur qui perçoit des charges pour le faire ?

La Ville de Wattrelos garante du cadre de vie de ses administrés ?

Ou peut-être Lille Métropole Communauté Urbaine (L.M.C.U.) ?  

Et les porches à l'arrière des immeubles d'appartements de la socité immobilière Vilogia, qui donc doit en assurer l'entretien ?

Par contre, c'est bien au prestataire de services concerné de réparer "son" armoire. Encore faut-il que la maintenance des immeubles desservis par ce prestatire, voire l'un(e) de ses responsables, un(e) Chargé(e) de clientèle, ou même la Ville de Wattrelos, lui signale la détérioration dont a été l'objet son matériel.

Mais pour avoir connaissance de ces actes de vandalisme, il faut fréquenter l'Ouest Wattrelosien et parcourir à pied ses nombreux cheminements. 

Après être repassé par la pharamacie, je prenais le chemin de mon domicile en direction de la rue Berlioz, car la forte pluie de ce matin a transformé les "terrains vagues" de Vilogia, de part et d'autres de la voie ferrée, en cloaques boueux.

Après quelques dizaines de mètres, je ne peux pas dire que j'ai été surpris par le spectacle qui s'offrait à ma vue, je m'y attendais, mais quand même pas si rapidement après avoir rédigé l'article sur les  aménagements urbains   aux abords du Centre Social.

Je ne sais pas si d'autres associations ou habitants l'ont été, mais, membre du Comité de quartier de La Mousserie, je n'ai pas été convié à une quelconque consultation ou même concertation pour ces aménagements.

Etre un des premiers résidants de La Mousserie arrivés en 1954, et toujours y résider ne permet certainement pas de faire des propositions et/ou donner un avis sur les attentes des habitants du quartier.

Par contre, j'ai vu le chef de service de la Ville de Watttrelos, en charge de ces aménagements, rencontrer le directeur du Centre Social à ce sujet.

Après avoir fait ce navrant constat, je continuais mon chemin jusqu'à un couloir de verdure que je traversais.

Enfin ! Un semblant de couloir de verdure, surtout en photo, ...

.. car après avoir effectué un demi tour sur moi-même, ...

Demain j'irai acheter le journal et chercher les pains commandés ce matin !

Patrick : Président résidant de l"A.C.R.O.W." association de quartier

J'avais pourtant décidé ce matin de donner un peu de repos à mon appareil photo. Mais d'aucun(e)s auraient peut-être pensé que je ne veux voir que le mauvais côté du cadre de vie et de l'environnement de l'Ouest Wattrelosien si j'avais agi de la sorte.

C'est après avoir parcouru quelques dizaines de mètres que je devais changer d'avis, car les tags signalés lors du  Constat des lieux en allant (1) !    de jeudi dernier avaient été "effacés". Enfin ! Certains avaient été "effacés".

Car, si je n'avais pas juger utile d"immortaliser" celui qui était sur l'armoire ci-dessous ...

... celui à mi chemin avec le précédent, mais sur une armoire située sur le trottoir d'en face, y était encore ce matin.

C'est peut-être une question d'itinéraire aller et retour de l'équipe anti-tags.

Par contre, si je n'ai remarqué que ce matin sa disparition, j'ignore quand a été coupé cet arbre certainement malade. Enfin ! Il faut espérer que c'est là la raison de son abattage et non son bois qui serait utilisé dans une cheminée par ce "caniculaire" mois de juillet.

Un peu plus loin, ce sont deux nouveaux sacs qui se sont installés dans ce coin très accueillant de Wattrelos car ...

... il faut reconnaïte que le bureau de La Poste au Sapin-vert a su se remettre  rapidement dans l'ambiance d'incivisme de certains habitants du quartier après avoir mener une opération de nettoyage suite aux diverses interventions de la Commission "Vis ton quartier". Mais ce geste de respect envers, non seulement ses clients, mais également les habitants du quartier, ne fut vraiment qu'éphémère.

Contrairement aux emballages vides et autres papiers ou morceaux de bois jetés là certainement par quelques passants, les mauvaises herbes ne sont amenées par personne et, non enlevées, transforment l'aspect de ce parking privé en celui d'un terrain vague propice à ce genre d'incivilités.

Ce désolant constat fait, je reprenais mon chemin qui me ménerait dans divers commerces de proximité. C'est à hauteur de la rue Paul Gauguin Cézanne*, peu avant le "Centre commercial" de Couteaux, que je ressortais mon appareil photo en traversant la rue de l'Union.

Que les clients parcourent plusieurs centaines de mètres avec un caddy  "emprunté" au magasin n'a rien d'exceptionnel, mais un conteneur de plusieurs centaines de litres desriné aux ordures ... Car il y a bien un magasin de cette enseigne à proximité de l'adresse indiquée sur celui-ci. Mais peut-être que ce n'est que coïncidence.

Ce nouveau constat fait, je retraversais la rue et faisais attention où je posais les pieds.

Alors qu'un peu plus loin tout un partie du trottoir a été refaite il y a peu de temps.

Mais les plots de signalisation encore sur place laissent envisager une prochaine reprise de ces réfections de trottoir. A moins, bien sûr et plus certainement, qu'ils ont été "oubliés" par les ouvriers qui ont effectués ces travaux.

Wattrelos pourrait être appelée " ville de transit de tout genre", car il n'y a pas que les Gens du voyage et les Roms qui viennent, s'installent un moment puis repartent, rapidement remplacés par d'autres, les sacs noirs font de même. Mais si pour les premies c'est un mode vie et une nécessité de survie pour les seconds qui les méneront d'un endroit à un autre, d'une comune à une autre, les troisièmes effectuent à Wattrelos leur ultime séjour, et leurs anciens propriétaires en sont bien conscients.

En une semaine, combien de sacs différents et d'ordures en tout genre ont transité par cette entrée du supermarché Match ?

Où donc sont installées les caméras de vidéo-surveillance ?

Car, si certains commerces font de réels efforts pour améliorer leur image et l'accueil de leurs clients, le cadre de vie et l'environnement des habitants de l'Ouest Wattrelosien, ...

... d'autres qui semblent vouloir s'installer à proximité ne donnent qu'un (mauvais) coup de pinceau à leur façade et laissent leur parking se tranformer en décharge à ciel ouvert, ouverte à tous, alors ...

... que d'anciens sont l'objet d'incivilités impunies, puisque ce domaine est une propriété privée.

Comme dit plus haut, les sacs noirs wattrelosiens vont et viennent dans un espace temps assez court, généralement 24 ou 48 heures, parfois plus lorsqu'il y a des jours non travaillés, alors que l'herbe des caniveaux semble encore avoir de nombreux beaux jours verts et humides devant elle.

Si hier j'ai pu constater que le récent incendie de l'appartement  de la rue Richard Wagner avait laissé des traces encore apparentes sur la façade arrière, je n'avais pas fait attention si celles de la façade donnant sur la voie publique étaient encore visibles.

Et bien non ! La Société immobilière Vilogia, propriétaire de ce groupe d'immeubles n'a certainement pas voulu donner une mauvaise image d'elle et l'a fait repeindre.

Il n'y a que les habitués de son terrain vague qui voient la façade arrière, et elle peut donc restée dans l'état que l'ont laissé les flammes.

Patrick : Président résidant de l"A.C.R.O.W." électeur wattrelosien

* édité pour rectifier le nom de la rue, ce n'était pas le bon "Paul", les deux rues sont distantes d'à peine une encablure (environ 185 mètres)